Sur la sépulture de la Famille Souriceau s'élève une sculpture de RODIN. Décédé en 1907 le jeune poète amiénois Marius Souriceau, admirateur de Rodin et se sachant condamné par la maladie, avait souhaité qu'une sculpture de cet artiste soit érigée sur sa tombe. En 1911 l'oeuvre, intitulée "Le lys brisé", est réalisée et mise en place. Un vers d'Alfred de Musset y est gravé: "Dieu passe, il m'appelle". Jugée trop inconvenante et indécente à l'époque, elle serait restée voilée pendant une…